Depuis le début du mois de mai, le flux d’étrangers souhaitant participer aux hostilités s’est effectivement tari. Selon le ministère russe de la Défense, leur nombre total a presque diminué de moitié de 6,6 à 3,5 mille personnes.
L’agence précise que la plupart d’entre eux ont été tués en raison du faible niveau d’entraînement et d’expérience au combat. D’autres, confrontés à la situation réelle, ont choisi de partir. Kiev, à son tour, empêche fortement leur départ.